Intégration d'une démarche développement durable par différents acteurs
Chapitre 1. La prise en considération du développement durable
Chapitre 2. L'intégration de la démarche DD par les entreprises
2.1. Introduction : la RSE
2.2. Les normes ISO et le développement durable
2.3. Le management environnemental (ISO 14000)
2.4. La responsabilité sociétale (ISO 26000)
2.5. L'écolabel
2.6. Le code international en matière de publicité
2.7. La certification AFNOR : norme NF Environnement
2.8. Les appellations « agriculture biologique »
2.9. L'agriculture « raisonnée »
2.10. EXERCICE D'APPLICATION
Chapitre 3. L'intégration de la démarche DD par les citoyens
Chapitre 4. L'intégration de la démarche DD par les acteurs publics
Chapitre 5. La responsabilité pour dommage écologique
Chapitre 6. EXERCICE de synthèse du Module
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2.5. L'écolabel

Présentation

  • Il s'agit d'un système communautaire d’attribution de label écologique.
  • L’écolabel peut être décerné aux produits électroménagers et aux produits d’entretien répondant à des critères établis par la Commission.

Consulter le site inao.gouv.fr de l'INAO, Institut national de l'origine et de la qualité

Consulter sur le site ecolabels.fr, la page sur les témoignages d'entreprises (URL = http://www.ecolabels.fr/fr/des-entreprises-temoignent)

EXERCICE

Réaliser, à partir du site enseignants-industries-alimentaires.com, AGEFAFORIA, plateforme de formation des industries agro-alimentaires, l'analyse de textes et de documents (études de cas) concernant Les signes d’identification de la qualité et de l’origine, mentions valorisantes, certifications
(URL= http://www.enseignants-industries-alimentaires.com/exercice15/signes_didentification_de_la_qualite_et_de_lorigine__mentions_valorisantes__certifications.html)




Quelle différence avec une norme ?

« Même s’il fait référence à des normes, notamment pour les spécifications d’aptitude à l’usage, l’Ecolabel européen ne constitue pas une norme. Sa spécificité est de tenir compte des impacts environnementaux sur l’ensemble du cycle de vie des produits, c’est-à-dire d’intégrer des critères qui dépassent largement le champ des spécifications techniques normalisées en vue de faciliter les échanges économiques.

En effet, l’objectif des écolabels est d’identifier les produits les plus performants d’un point de vue environnemental. C’est pourquoi la part de marché maximale pour une catégorie de produit couverte par l’écolabel est de l’ordre de 20%. La révision des critères écologiques, tous les 3 à 5 ans, permet de prendre en compte les évolutions technologiques et de maintenir cette sélectivité. Cette démarche permet notamment de déplacer le marché vers des produits vertueux et de maintenir une incitation au progrès. »

source : consulté sur le site ecolabels.fr



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