Le défaut majeur serait une succession de résumés au lieu d’une synthèse.
Il est indispensable de :
- prendre du recul pour dégager :
- le ton des textes (le plus virulent ou le plus conciliant),
- l’intérêt du dossier,
- l’impression dominante.
- travailler l’annonce du plan et les transitions qui soulignent le plan ; elles doivent tisser ensemble un fil conducteur valorisé par des connecteurs logiques. Ainsi se dégage la cohérence du raisonnement.
- vérifier que :
- le plan ne s’écarte jamais de la problématique,
- dans chaque partie les arguments retenus convergent pour appuyer l’idée forte de chacune et sont reliés pour une bonne cohésion (vs impression de décousu),
- tout argument issu d’un document est accompagné du NOM de son auteur en MAJUSCULES et d’un verbe énonciatif,
- chaque idée retenue est reformulée de manière concise.
- rechercher un lexique synthétique en toute occasion,
- passer de l’exemple à l’abstraction c’est-à-dire conceptualiser pour être plus synthétique encore (voir la ressource « Conceptualiser »),
- choisir des verbes énonciatifs précis (non dire ou parler mais souligner, réfuter, déplorer, se réjouir de, expliquer, se rejoindre, nier, remédier…),
- écrire les noms d’auteurs en majuscules,
- prouver en permanence votre compréhension du dossier.