Il n'y a pas de plan-type mais seulement une reflexion personnelle à partir de choix pertinents
- Aucune autre partie n’est obligatoire, aucun ordre particulier n’est imposé pourvu qu’il y en ait un.
- Il faut bien reconnaître que toute problématique soulève une difficulté de fond sur un sujet d’actualité le plus souvent lié aux disciplines propres à la filière.
Qui dit difficulté, dit causes, conséquences et tentatives de résolution. C’est un plan possible mais aussi une solution de facilité. Certains dossiers s’y prêtent à vous d’adapter votre argumentation par une lecture transversale du tableau ( voir le plan du test).
- Mais toujours par une lecture transversale vous cherchez dans le tableau des segments de documents à répartir dans les diverses parties du plan.
- Vous prenez soin de noter dans le plan le numéro du document source avec précision.
Diverses méthodes existent et se justifient ; nous tentons de nous situer au-delà.
Sont communes à toutes les méthodes :
- une indispensable introduction qui montre déjà l’intérêt du dossier en trois points :
- présentation des documents et des auteurs,
- énoncé de la problématique,
- annonce du plan.
Selon les méthodes, la présentation des documents et des auteurs peut varier en longueur et en précision.
Certaine exigera une énumération chronologique très proche de l’en-tête du dossier avec titre, auteur, date et source pour chacun à la suite.
Une autre préfèrera d’emblée une attitude synthétique qui regroupera les documents par genres, par dates, par positions déjà repérables.
- une conclusion en deux temps :
- bilan de la synthèse (ou plus rarement exploitation d’un point de vue particulier qui se distingue),
- avis personnel développé et argumenté (1/2 page manuscrite environ ou plus si demandé).
Les avis sont partagés sur l’utilisation du pronom personnel pertinent dans la conclusion : JE ou NOUS ou une tournure impersonnelle (il faut avouer que…).