Pour un enseignement pragmatique que se doit d’être l’enseignement supérieur technologique, il peut sembler paradoxal de placer au premier rang ce que l’on appelle également la « question de cours ».
Apprendre par cœur un cours dicté et le « régurgiter » le jour de l’examen final serait la porte ouverte aux fraudeurs et autres copieurs d’une part et à ceux qui suppléeraient une intelligence défaillante par une mémoire « de stockage ».
En réalité, le travail demandé est bien plus complexe : la mémoire est une faculté nécessaire et il est toujours utile de pouvoir puiser dans des connaissances acquises par mémorisation préalable ; nécessaire, la mémoire n’est nullement suffisante et le « bachotage » est souvent décrié, et à juste titre.
Un bon travail s’effectue en trois phases tout à fait distinctes : concentration (1.2.1), adaptation (1.2.2) mobilisation (1.2.3) :