Le DECIBEL en ELECTRONIQUE
Chapitre 1. Introduction
Chapitre 2. Du bon usage du DECIBEL en électronique
Chapitre 3. Les pièges du DECIBEL
Chapitre 4. Expression des grandeurs de références
Chapitre 5. Les références usuelles en électronique
Chapitre 6. Problème inverse
Chapitre 7. Les équivalences puissance tension
Chapitre 8. Les équivalences puissance tension exprimées en DECIBEL
Chapitre 9. Généralisation de ces équivalences
Chapitre 10. Quand faut-il repasser en linéaire ?
10.1. Somme des carrés de deux ou plusieurs niveaux
10.2. Moyennage sur des acquisitions
10.2.1. Deux exemples extrêmes
Chapitre 11. Le DECIBEL apparaît quand même en numérique
Chapitre 12. Le dB sans PC ni calculatrice avec un peu de réflexion
Page d'accueilTable des matièresNiveau supérieurPage précédenteBas de la pagePage suivante

10.2.1. Deux exemples extrêmes

  •  voisin de  : on peut poser  , la relation (10-21) donne  et la relation (10-23) donne : relation dans laquelle, comme , on peut utiliser le développement limité au 1er ordre, ce qui donne :

  •  tend vers zéro (cas d’un évanouissement ponctuel du signal), la relation (10-21) donne, malgré tout,  alors que la relation (10-23) donne. Par conséquent, si la moyenne est effectuée sur un grand nombre de mesures, l’impact d’une valeur nulle sera très atténué par la moyenne des mesures prises en représentation linéaire (extension de la relation (10-21) à un grand nombre de mesures), alors qu’elle tendra toujours vers zéro si on utilise l’extension de la relation (10-22) à ce  même nombre de mesures puisque .    Il  faut  être prudent sur les choix des modes opératoires !

 

Page d'accueilTable des matièresNiveau supérieurPage précédenteHaut de la pagePage suivante