Tout d'abord, la dépréciation doit faire référence à un élément lui-même déductible, c'est-à-dire généralement utile à l’activité de l’entreprise (stock, créances, valeurs mobilières). Ensuite, la dépréciation doit faire référence à un événement né au cours de l'exercice (on ne déprécie pas un stock non possédé à l’inventaire, même si la commande est passée). Dans tous les autres cas, la dotation pour dépréciation n’est pas déductible et doit donc être réintégrée.