A titre général, la reprise du travail d’autrui sans même citer l’auteur constitue une sorte de vol intellectuel que le Code pénal qualifie de « contrefaçon » et réprime de peines délictuelles, relevant du Tribunal correctionnel.
Au surplus, dans votre travail juridique, vous avez le plus grand intérêt à citer très précisément vos sources et à en donner la référence exacte (2) !!! C’est donc le contraire exact de la contrefaçon dés lors, bien entendu :
- que vous vous contentez d’une courte citation d’une œuvre privée ou reprenez un document public (toujours entre guillemets) ;
- que vous indiquez clairement le lien exact de la page internet que vous citez ou les références exactes de l’ouvrage papier (au minimum, auteur, titre, revue ou éditeur suivant le cas, année) ;
TRES IMPORTANT : en droit, toute information doit être recoupée, vérifiée à d’autres sources (les revues juridiques prenant le soin de citer soigneusement la source des informations qu’elles donnent).