Elles proviennent essentiellement des augmentations de postes du passif du bilan et des diminutions de postes de l'actif. 
    Il peut s'agir :
    
      - des augmentations de capitaux propres par apports nouveaux (en numéraire).
      - des emprunts nouveaux prévus auprès d'organismes financiers.
      - des apports en comptes courants d'associés. 
      - des prix de cessions d'éléments d'actif immobilisés.
      - des capacités d'autofinancement (CAF) prévisionnelles calculées à partir de l'EBE (méthode soustractive) ou du résultat net (méthode additive). 
      - des subventions d'investissement à percevoir. 
      - des prélèvements  prévus sur le fonds de roulement.
      - de la diminution prévisible du besoin en fonds de roulement. 
      - des crédits envisagés  pour ajuster ou compléter les financements. 
      - des économies fiscales éventuelles (économies ou crédits d'impôts).