L'implantation d'une activité indépendante à l'étranger : la préparation de l'installation
Chapitre 1. Le programme Erasmus jeunes entrepreneurs
Chapitre 2. Les salons et présentation des produits
Chapitre 3. Les organismes d'aide à l'implantation
Chapitre 4. Les sites utiles pour aider à l'installation
Chapitre 5. Les types juridiques d'installation à l'étranger
Chapitre 6. Les aides à l'implantation à l'étranger : les démarches utiles
Chapitre 7. 10 questions à se poser avant d'entamer une démarche à l'international
Chapitre 8. 6 règles d'or pour partir gagnant dans votre démarche export
Chapitre 9. Travail à faire
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Chapitre 5. Les types juridiques d'installation à l'étranger

Quelques extraits du site de l'APCE, l'Agence Pour la Création d'Entreprises

Plusieurs possibilités s'offrent aux entreprises qui souhaitent commercialiser leurs produits à l'étranger :

  • «  Créer un poste d'observation sous forme de bureau de liaison ou bureau de représentation. C'est une structure très légère qui permet :
    • de prendre sur place des contacts avec divers interlocuteurs : clients potentiels, administrations, fournisseurs...
    • de remonter à l'entreprise des informations locales,
    • d'assurer sa communication.


Par contre, un bureau de liaison ne peut exercer une activité commerciale en tant que telle.

  • Recourir aux services d'un agent commercial implanté dans le pays et qui sera donc bien placé pour introduire les produits de l'entreprise. Cette solution occasionne peu de frais de gestion et peut constituer une première étape au développement communautaire de l'entreprise.
  • Ouvrir une succursale, c'est à dire un établissement secondaire dans le pays convoité pour faciliter l'extension géographique de ses activités et ses relations avec la clientèle locale.
  • Créer une filiale, c'est à dire une structure permanente dotée de sa propre personnalité juridique. La filiale possède la nationalité du pays d'implantation ce qui peut faciliter la pénétration du marché. Elle adopte une des structures juridiques en vigueur dans le pays concerné.
  • Collaborer avec un partenaire local (entreprise privée, personne publique...) sous forme :
    • d'une joint venture, qui peut être soit uniquement contractuelle, soit à la fois contractuelle et sociétaire (contrat de collaboration + filiale commune),
    • d'un Groupement européen d'intérêt économique (GEIE) si le ou les partenaires de l'entreprise sont membres de l'Union européenne. Cette structure permet à plusieurs entreprises de nationalités différentes de faciliter ou développer leur activité économique en développant des actions communes tout en conservant leur autonomie juridique et économique.
  • Précisons enfin que le statut de Société européenne est entré en vigueur le 8 octobre 2004. Son application nécessite cependant une adaptation de la législation de chaque Etat membre de l'Union européenne. A ce jour seuls 6 pays ont procédé à cette adaptation : l'Autriche, la Belgique, le Danemark, la Finlande, l'Islande et la Suède.
  •  Des fiches pays sont consultables dans la partie "boîte à outils" du site. »

 

Des exemples de type d’internationalisation, toujours sur le site de l'APCE.

 

 

Travail à faire : résumez les types d'implantation à l'international

Vous visionnez préalablement la vidéo suivante sur news21tv.

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