Le display, coûts et limites
Les limites du display
Deux grandes limites à prendre en compte :
la saturation perceptuelle ;
la vogue des bloqueurs de publicités.
Les principaux modes de facturation
Comme pour l'affichage classique, les coûts de création et de conseils sont pris en compte à part.
La base de facturation est l'affichage de votre bannière sur l'écran de l'internaute. Cela se nomme le CPV (Coût par Vue).
Remarque : Comparer le coût de l'affichage et du display
Il n'est pas aisé de comparer les coûts avec les media traditionnels. Sauf cas particulier (ciblage très complexe ou cible très convoitée par les entreprises), la facturation CPV devrait correspondre à un CPM (Coût pour mille) inférieur à 1 euros.
Complément : Les enchères, une opportunité pour les TPE-PME
Le mode de facturation par enchère se développe ces dernières années. Au lieu de payer pour une place sur un site quelque soit les caractéristiques de l'internaute qui consulte ce site, les annonceurs participent à une enchère pour chaque visiteur, en fonction de son profil.
Cette pratique, nommée RTB, fonctionne très bien pour le retargeting.
Pourquoi payer pour tous les visiteurs d'un site alors que votre campagne display ou votre offre de concerne qu'une cible clairement identifiée ?
Exemple : Une campagne display et retargeting pour un caviste
Dans notre exemple du caviste de Figeac (46) on peut imaginer la stratégie suivante :
campagne display sur des sites et blogs en lien avec les vins du Sud-Ouest et le Rhum ;
enchère pour suivre en retargeting les internautes dont les connexions proviennent de la région de Figeac ou qui ont visité un site sur la ville pour préparer une visite (site de l'office de tourisme par exemple).