|
|
Chapitre 2. Le schéma électronique
|
Le détecteur de point d’acupuncture
est réalisé à l’aide de l’AOP (Amplificateur Opérationnel) A1:A
monté en comparateur (LM324).
Le potentiomètre P1 permet de régler la sensibilité de détection.
Avec un peu d’expérience, la précision du positionnement avoisine
le millimètre carré.
|
Schéma électrique

|
Un oscillateur réalisé à
l’aide de l’AOP A1:B génère un signal rectangulaire.
Ce signal est appliqué à la base du transistor T qui fonctionne
en commutation.
Ce transistor est chargé dans son collecteur par un relais électromécanique
miniature.
La bobine de ce relais va permettre de génèrer une tension induite
inverse d’une centaine de volts.
C'est cette tension inverse qui permet la stimulation. |
Signal de stimulation
|
Les contacts du relais
ne sont pas utilisés, mais la palette de celui-ci vibre
à la fréquence de l’oscillateur.
Cette fréquence est choisie de telle sorte que cette
vibration se traduise par un bruit audible, qui est utilisé
pour matérialiser la détection et la stimulation.
Période de
l'oscillateur

|
La fréquence de l'oscillateur
doit également être adaptée au type de relais.
Nous avons utilisé un relais DIL de marque Matsushita ( DS2E-12V).
La période pour ce type de relais a été choisie égale à 3,5ms.
D’autres relais peuvent également convenir.
N’importe quel transistor NPN convient à condition qu’il puisse
supporter une tension VCE max inverse de 100V.
En l’absence de point d’acupuncture la diode électroluminescente
LD1 est allumée et le relais vibre.
La présence d’un point d’acupuncture éteint la led et arrête
la vibration du relais, ce qui permet une détection visuelle
et auditive.
Le basculement de l’inverseur en position stimulation refait
vibrer le relais et allume la diode électroluminescente, tout
en dirigeant la haute tension vers la pointe de stimulation.
Le potentiomètre de puissance P2 permet de régler
l'intensité de stimulation au niveau souhaité.
|
|
|
|