1 Principe
La structure d'une alimentation flyback est donnée par la fig.1.

L'interrupteur K unidirectionnel en courant est commandé à la fréquence f = 1/T avec le rapport cyclique a : de 0 à a.T, K est fermé et de a.T à T, K est ouvert.
v Durant la phase de fermeture de K, la tension primaire v1 = E; compte tenu des sens d'enroulement marqués par les points sur les bobinages, la tension v2 est négative donc D est bloquée et la charge est alimentée par le condensateur C. Le courant i1 crée un flux j positif dans le transformateur.
v Lorsqu'on commande l'ouverture de K, Le courant i1s'annule; la continuité du flux donc des ampères-tours impose un courant i2 > 0 donc la conduction de D. Le secondaire recharge C tout en alimentant la charge en utilisant l'énergie magnétique stockée dans le transformateur.
Le flux est toujours positif ou nul; on a donc une alimentation asymétrique.
La démagnétisation se faisant par transfert d'énergie à la charge, l'alimentation flyback ne peut pas fonctionner à vide.
Le courant i2 peut s'annuler avant la fin de la période; le transformateur est donc complètement démagnétisé à chaque période; la démagnétisation peut être incomplète, le courant i2 restant alors positif de a.T à T.
Le transformateur fonctionne de façon particulière puisqu'il n'y a jamais à la fois présence des courants primaire et secondaire. L'énergie magnétique stockée durant la fermeture de K est restituée à la charge durant son ouverture; pour pouvoir transmettre une puissance importante, il faut donc stocker une énergie magnétique importante; ceci impose de créer un entrefer dans le circuit magnétique.
2 étude simplifiée
Pour simplifier l'étude, on suppose :
v les interrupteurs K et D parfaits : courant nul à l'état ouvert et tension nulle à l'état fermé
v le filtrage parfait de la tension de sortie : vs(t) = Vs = Cste.
v le transformateur parfait : circuit magnétique linéaire donc inductance constante des bobinages; inductances de fuites et résistances des bobinages nulles.
2.2 Démagnétisation complète
A t = 0, le transformateur est démagnétisé, les courants primaires et secondaires sont nuls.
Ø On commande la fermeture de K imposant vk = 0 donc v1 = E; le transformateur étant parfait,
v2 = -m.v1 = -m.E avec m = n2 / n1, rapport des nombres de spires respectivement au secondaire et au primaire. La diode D est donc bloquée et i2 = 0.
Soit L1 l'inductance du primaire, nous avons v1 = L1.di1/dt soit i1 = E.t /L1. Le flux dans la section droite du circuit magnétique est j = L1.i1/n1.
A la fin de la période de fermeture de K soit en t = a.T, le courant primaire est maximal et vaut Î1 = E. a.T /L1 et l'énergie magnétique stockée dans le circuit magnétique est :
.
Ø Pour t > a.T, on commande l'ouverture de K imposant i1 = 0. Le flux et l'énergie magnétique ne peuvent être discontinus; la relation liant le flux aux courants est R.j = n1.iµ = n1.i1+n2.i2, R étant la réluctance du circuit magnétique et iµ le courant magnétisant; en posant t' = t- a.T , nous en déduisons
.La diode D doit donc conduire et la tension secondaire est v2 = vs; nous en déduisons
v1 = -n1.Vs/n2 et vk = E+ n1.Vs/n2 .
Soit L2 l'inductance du secondaire, compte tenu de la convention générateur au secondaire,
La démagnétisation étant complète, le courant i2 s'annule en t' = b'.T = (b-a).T avec
.
Le primaire et le secondaire étant bobinés sur le même circuit magnétique, les inductances sont proportionnelles au carré du nombre de spire :
; en remplaçant L2 et Î1 par leur expression, il vient :
.
Pour rester en démagnétisation complète, nous devons avoir b' < 1-a soit
L'allure des graphes est donné par la fig.2 : 
Pour obtenir l'expression de la tension de sortie, nous pouvons écrire que la puissance Ps fournie à la charge est égale à la puissance Pe fournie par la source E, toutes les pertes étant négligées.
Nous avons Ps = Vs.Is = Vs²/Rch, pour une charge purement résistante. Pe = (E.i1)moy=E.i1moy.
D'après la forme du graphe, nous avons i1 moy = a. Î1/2 = E. a².T /2.L1 d'où
.
Nous constatons que la tension de sortie dépend du montage, du rapport cyclique de commande mais aussi de la résistance de charge; si nous voulons une tension de sortie constante, il faudra disposer d'une boucle de régulation faisant varier le rapport cyclique en fonction de la charge.
2.3 Démagnétisation incomplète
Dans ce cas le flux reste toujours strictement positif ainsi que la somme des ampères-tours: n1.i1+n2.i2 > 0.
Ø A t = 0, on commande la fermeture de K imposant vk = 0 donc v1 = E; le transformateur étant parfait,
v2 = -m.v1 = -m.E. La diode D est donc bloquée et i2 = 0.
Nous avons v1 = L1.di1/dt soit i1 = E.t /L1+A. Au début de cette phase de magnétisation, le flux est minimal ainsi que le courant; nous avons donc i1 = E.t /L1+i1m.
A la fin de la période de fermeture de K soit en t = a.T, le courant primaire est maximal et vaut
i1M = E. a.T /L1 + i1m . Nous en déduisons Di1 = i1M-i1m= E. a.T /L1 .
Ø Pour t > a.T, on commande l'ouverture de K imposant i1 = 0. Le flux et l'énergie magnétique ne peuvent être discontinus ;en posant t' = t- a.T , nous en déduisons
.La diode D doit donc conduire et la tension secondaire est v2 = vs; nous en déduisons v1 = -n1.Vs/n2 et vk = E+ n1.Vs/n2 .
Soit L2 l'inductance du secondaire, compte tenu de la convention générateur au secondaire,
La démagnétisation étant incomplète, nous avons en t = T soit t' = (1-a).T
. Nous en déduisons
; en égalant les deux expressions de Di1, il vient vs= m.a.E/(1-a).
L'allure des graphes est donné par la fig.3 : 
nous constatons qu'en démagnétisation incomplète, la tension de sortie ne dépend plus du courant de charge.
En égalant les puissances fournie par la source et consommée par la charge, nous avons
; nous en déduisons i1moy = m.a.Is/(1-a); cette relation combinée avec celle de Di1, permet de calculer les extremums du courant primaire donc du courant secondaire.
3 choix des composants
Nous nous fixons la tension d'alimentation E, la tension vs et le courant Is en sortie, la fréquence de découpage f et l'ondulation maximale DVs de la tension de sortie.
Par exemple E = 24 V ; vs = 12 V ; Is = 1 A ; f = 50 kHz et DVs = 0,6 V.
Nous avons
; si nous nous fixons une valeur du rapport cyclique a, nous pouvons en déduire l'inductance primaire L1 et la valeur crête du courant primaire Î1= a.E/L1.f.
Avec les valeurs de l'exemple et a = 50 %, il vient L1 = 120 µH et Î1= 2 A.
Le temps de conduction de la diode est b'.T = L2.I2/vs ; la continuité de l'énergie magnétique en t = a.T impose
; nous en déduisons
.
Nous nous fixons b' tel que a+b' < 1 pour rester en démagnétisation complète et nous calculons L2 et Î2.
Dans l'exemple avec b' = 40 %, il vient L2 = 19,2 µH et Î2 = 5 A.
Nous pouvons en déduire le rapport de transformation
. Dans l'exemple m = 0,4.
Démagnétisation incomplète
Nous devons nous fixer le rapport cyclique a et l'ondulation Di1 du courant primaire.
Nous en déduisons L1= a.T.E/ Di1; de la relation vs= m.a.E/(1-a), nous déduisons le rapport de transformation m et la valeur de l'inductance secondaire L2 = m².L1.
Nous pouvons alors calculer la valeur moyenne du courant primaire i1moy = m.a.Is/(1-a); avec
nous calculons les extremum du courant primaire et ceux du courant secondaire en divisant par m.
Dans l'exemple étudié, prenons a = 50 % et Di1 = 0,5 A. Nous en déduisons L1 = 480 µH ; m = 0,5 ; L2 = 120 µH ; i1moy = 0,5 A ; i1M = 1,25 A ; i1m = 0,75 A ; i2M = 2,5 A et i2m=1,5 A.
Nous constatons que le fonctionnement en démagnétisation incomplète demande des inductances plus fortes que celui en démagnétisation complète.
3.2 Condensateur de filtrage
Le condensateur de sortie alimente la charge pendant la durée de blocage toffd de la diode D.
Le courant de charge étant constant, nous avons durant cette phase ic = - Is = C.dvs/dt; nous en déduisons la variation de tension durant cette phase -Is. toffd / C ; le condensateur est donc lié à l'ondulation de la tension de sortie par C = Is. toffd /DVs .
En démagnétisation complète la diode D est bloquée durant la phase de fermeture de K qui dure de 0 à aT et durant la phase où K et D sont bloqués durant de (a+b')T à T; nous avons donc toffd = (1-b').T.
En démagnétisation incomplète, D est bloquée uniquement de 0 à aT donc toffd = (1-a).T.
Avec les valeurs de l'exemple, nous trouvons C = 20 µF en démagnétisation complète et C = 17 µF en démagnétisation incomplète.
L'interrupteur K est unidirectionnel en tension et en courant. On choisira un transistor de type MOS pour les tensions d'alimentations faibles à moyennes (12 à 400 V) et de type bipolaire pour les tensions supérieures. Il doit pouvoir supporter la tension E+vs /m au blocage et le courant Î1 en saturation.
Dans l'exemple, nous avons :
Ø en démagnétisation complète : tension maximale 54 V, courant maximal 2 A
Ø en démagnétisation incomplète : tension maximale 48 V, courant maximal 1,25 A.
Facteur de dimensionnement de l'interrupteur :
Le facteur de dimensionnement du transistor est
.
Dans tous les cas Vkmax = E+vs/m et Puissance contrôlée = Vs.Is = E.i1moy.Nous en déduisons
Ø En démagnétisation complète:Ikmax = a.Î1/2 et
d'où
A résistance de charge constante, nous voyons que nous avons intérêt à choisir une valeur de a aussi grande que possible tout en respectant la condition
pour rester en démagnétisation complète. Avec les valeurs de l'exemple, nous avons Fd = 9.
Ø En démagnétisation incomplète :
d'où
.
Le premier terme est minimal pour a = 50 % et vaut alors 4. Le deuxième terme est d'autant plus faible que l'ondulation est petite devant la valeur moyenne du courant. Dans l'exemple Fd = 5.
La diode doit supporter la tension vs+m.E au blocage; le courant moyen dans le condensateur étant nul, nous avons un courant moyen dans la diode égal à Is et un courant crête égal à I2max. Cette diode doit être suffisamment rapide pour s'adapter à la fréquence de découpage.
Nous pouvons utiliser une diode Schottky qui est très rapide et qui a une chute de tension plus faible qu'une diode à jonction PN; on diminue ainsi les pertes dans la diode donc on augmente le rendement de l'alimentation.
Dans l'exemple, le courant moyen dans la diode est de 1 A;
Ø en démagnétisation complète : tension maximale 31,2 V, courant maximal 5 A
Ø en démagnétisation incomplète : tension maximale 36 V, courant maximal 2,5 A.
4 Effet des inductances de fuites
Les inductances de fuites du transformateur doivent être prises en compte dans le choix des composants; par définition ces inductances au primaire et au secondaire ne sont pas couplées; durant la phase de fermeture de K, l'inductance de fuites primaire est magnétisée; à l'ouverture de K, l'énergie stockée ne peut être évacuée au secondaire et sera dissipée dans l'interrupteur.

On peut modéliser le transformateur par :
v l'inductance magnétisante Lµ égale à l'inductance primaire L1 si on néglige les fuites
v les inductances de fuites primaire Lf1 et secondaire Lf2
v un transformateur parfait de rapport m = n2/n1 imposant compte tenu du sens de couplage : e2 = -m.e1 et
i1t = -m.i2 . Nnous avons donc i1 = iµ + i1t = iµ-m.i2.
4.1 Étude sans circuit d'aide à la commutation
On suppose que sur la fig.4 le condensateur C' est débranché.
Étudions l'ouverture de K en t = a.T soit en t' = t- a.T = 0; à t' = 0-, K est fermé, D est bloquée. i1(0)=Î1.
L'interrupteur impose la vitesse de décroissance du courant : i1(0)=Î1(1-t'/tf).
La diode D conduit donc
, il vient :
;
avec di1/dt'=-Î1/tf, il vient :
.
Nous avons vk = E - e1 - Lf1.di1/dt soit, en négligeant Lf2/m² devant Lµ et en appelant l'inductance de fuites totales ramenée au primaire Lf = Lf1+Lf2/m²:
Les inductances de fuites, créent donc une surtension Lf.Î1/tf aux bornes de l'interrupteur.
Avec les valeurs de l'exemple en démagnétisation complète m = 0,4 ; L1=120 µH ; L2=20 µH, Î1 = 2 A. Prenons un temps d'ouverture tf = 0,1 µs et des inductances de fuites égales à 5 % des inductances principales : Lf1 = 6 µH , Lf2 = 1 µH; Lf = 12,25 µH; la surtension est donc de 245 V pour une tension de blocage de 54 V.
La valeur très élevée de cette surtension impose d'utiliser un circuit d'aide à la commutation.
4.2 Étude avec circuit d'aide à la commutation
Plaçons un condensateur de capacité C' en parallèle sur l'interrupteur.
A l'ouverture de K, on a trois phases :
Ø première phase : durant le temps d'ouverture tf, le courant est commuté de K à C'; à la fin de cette phase
j = Î1 et jk = 0. On peut considérer que durant cette phase, le courant magnétisant iµ n'a pas varié; la tension e1 est donc nulle ainsi que e2 et D est bloquée donc i2=0 et i1 = iµ.
Ø deuxième phase : tant que D est bloquée, i1 = iµ quasi constant donc C' se charge à courant Î1 constant la tension vk augmente linéairement; e1 est peu différente de E-vk et e2 de m.(vk-E); D est bloquée tant que e2 < vs soit tant que vk < E+vs/m.
Ø troisième phase : D conduit en t' = 0; à cet instant i1 = iµ = Î1 et vk = E+vs/m.
Les équations du montage sont : j = i1 = C'.dvk/dt' ; E = vk+Lf1.di1/dt'+Lµ.diµ/dt';e2 = -m.e1= -m.Lµ.diµ/dt' = vs+Lf2.di2/dt' ; i1 = iµ + i1t = iµ-m.i2.
On en déduit
; en négligeant Lf2/m² devant Lµ , nous obtenons
.
La solution est de la forme vk = A.cosw.t' + B.sinw.t' + Vkbloc ; i1 = C'.w.B. cosw.t'
Avec vk(t'=0)=Vkbloc et i1(t'=0)=Î1, nous avons A = 0 et B = Î1/C'.w .
La tension maximale aux bornes de l'interrupteur est Vkbloc + Î1/C'.w ; la surtension est :
.
Plus la capacité est grande, plus la surtension est faible; on doit cependant limiter la valeur de C' pour limiter la durée de la deuxième phase (E+vs/m).C'/Î1 à une valeur faible devant la période de découpage. De plus, à la fermeture de K, le condensateur chargé sous Vkbloc se décharge dans l'interrupteur; pour limiter la pointe de courant qui en résulte, on doit placer une résistance R' en série; la surintensité sera limitée à Vkbloc/R' et le temps de décharge de l'ordre de 5.R'.C' doit rester faible devant le temps de fermeture de K.
Dans l'exemple en démagnétisation complète, si on veut limiter la surtension à 50 V, on doit avoir C' > 19,6 nF; en prenant C' = 22 nF et Vkbloc = 54 V; la phase 2 du blocage dure 0,6 µs pour une période de 20 µs. En limitant la surintensité à 2 A, on a R' = 27 W et un temps de décharge de 3 µs. Les temps de commutation étant un peu forts, il faut diminuer C donc admettre une surtension plus grande.
La surtension à la coupure due aux inductances de fuites est une des principales limitations de l'utilisation de la structure flyback pour les fortes puissances.
5 principes de commande
5.1 Commande en mode tension
La commande de l'interrupteur fonctionne à fréquence de découpage fixe et à rapport cyclique a variable; pour réguler la tension de sortie vs, on compare sa valeur à celle de la référence de tension; l'erreur qui en résulte fait varier le rapport cyclique.
Lorsque l'alimentation comporte plusieurs sorties de tensions différentes, on ne peut en réguler précisément qu'une seule; pour que toutes les sorties soient régulées, il faut que les couplages des enroulements secondaires soient serrés afin qu'ils aient tous la même inductance de fuite ramenée au primaire.
Ce type de commande est simple à réaliser et la régulation ne pose pas de problèmes de stabilité car on peut montrer que le système est du premier ordre.
Son inconvénient est de ne pas contrôler le courant dans l'interrupteur K
5.2 Commande en mode courant
La commande fonctionne à fréquence fixe, le rapport cyclique étant fonction d'une référence de courant crête dans l'interrupteur K. A chaque fin de période, l'interrupteur K est fermé; le courant i1 augmente; quand il atteint la valeur Iref, on commande l'ouverture de K. La régulation se fait par la variation de Iref en fonction de l'erreur sur la tension de sortie. Si la tension de sortie diminue, cela veut dire qu'à chaque période de conduction de K on stocke une énergie magnétique insuffisante, il faut donc augmenter la référence de courant.
On peut ainsi protéger l'interrupteur K contre les surintensités en limitant la valeur de Iref.
Ce mode de commande peut devenir instable.
Sur la fig.5.a, on a tracé la réponse en courant pour un rapport cyclique a < 50 % et pour une référence de courant donnée. La période est fixée par la commande et les pentes de croissance et de décroissance de i1 par les inductances des bobinages. Supposons qu'une perturbation entraîne une augmentation du courant minimal.
Le système réagit suivant le graphe en trait épais; on constante que le système est stable puisque au bout de quelques périodes, le courant reprend le fonctionnement normal.

Sur la fig.5.b, on a tracé les mêmes graphes pour un rapport cyclique a > 50 % ; on constate alors une instabilité de fonctionnement car la perturbation s'amplifie.
Dans ce cas, on peut stabiliser le système en créant une référence de courant en forme de dent de scie (fig.5.c); certains circuits intégrés de commande, dits à compensation de pente, permettent le fonctionnement pour toute valeur de a.
5.3 Commande à fourchette de courant
On peut adapter le mode courant en gardant le blocage de K commandé lorsque le courant primaire atteint une valeur maximale égale à une référence de courant et en refermant K lorsque le courant magnétisant s'annule. On est alors à la limite de la démagnétisation complète.
Ce type de fonctionnement a l'avantage de fermer K et d'ouvrir D à courant nul donc avec des pertes de commutation limitées.
L'inconvénient est d'avoir une ondulation forte du courant magnétisant donc un facteur de dimensionnement de K élevé et de faire fonctionner le montage à fréquence variable ce qui complique le calcul des composants et rend plus difficile le filtrage de la tension de sortie.
6 dimensionnement de l'alimentation
6.1 Données de base