Dans ce traité les amendements au traité de Rome ont été adoptés en une seule fois d’où le terme "unique".
Il s'agissait de supprimer les obstacles non tarifaires, afin d’instaurer un véritable "marché unique" entre les pays de l’Union, c’est-à-dire une concurrence basée sur la réalité des coûts de production. En supprimant totalement le contrôle des changes l'Acte unique au sein de l’Union européenne (nouvelle appellation de la Communauté européenne), un pas est franchi pour l’adoption du traité de Maastricht).