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Conclusion
Conclusion :
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Comme on vient de le voir, le stratège peut mobiliser des outils puissants d’analyse de l’environnement dans lequel se trouve plonger l’entreprise et dans lequel elle doit se positionner pour exister. Parmi les critères qui dimensionnent l’environnement, il y en deux qui permettent de le caractériser dans la connaissance de son futur : les éléments connus comme les évolutions démographiques (l’espérance de vie allongée et des taux de fécondité moins élevés) et sociologiques (l’apparition de groupes de citadins aux revenus élevés et aux comportements décomplexés) et les éléments connaissables par des études comme le comportement de la demande (l’élasticité), par la lecture des rapports d’activité des entreprises cotées comme les projets d’investissement des concurrents, par la visite de salons comme le salon international de l’agroalimentaire qui préfigure ce que le futur nous offrira.
L’incertain « résiduel » pourrait se circonscrire à quatre types de futur : celui suffisamment explicite (le modèle Amazon), celui des alternatives (le modèle de la téléphonie mobile avec l’arrivée de Free en France), celui des futuribles (le modèle de l’écoute musicale libre avec Deezer), celui des ambiguïtés (le modèle des tablettes avec la probable arrivée de Microsoft, est-ce un marché d’avenir ou un marché gadget ?) |
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